Code de conduite à l'église
Code de conduite à l’église
Nous attendons de vous les comportements suivants à l’église cathédrale.
Téléphones cellulaires : les éteindre!
S’il vous plaît, éteindre vos téléphones cellulaires ou les placer en mode silencieux avant d’entrer dans l’église. Si la sonnerie se déclenche accidentellement, ne répondez pas à voix haute dans l’église : pour éviter de distraire les fidèles de l’office, décrochez et attendez d’être au narthex ( vestibule ) ou à l’extérieur pour parler. Quittez l’église calmement. Ne vous précipitez pas. Faites attendre votre interlocuteur. Vous pouvez aussi couvrir l’appareil de vos deux mains pour assourdir la sonnerie. Si un tel incident se produit, cela devrait vous rendre vigilant, pour une prochaine fois, et éteindre votre cellulaire avant d’entrer à l’église.
Pas de photographie sans autorisation.
Photographier durant une célébration n’est pas autorisé à moins d’une permission expresse donnée par l’archevêque ou un membre du clergé.
Confession avant la communion
Tous les chrétiens orthodoxes sont invités à recevoir la communion à l’église cathédrale à la condition qu’ils se confessent la veille ( à moins d’un arrangement pris avec le clergé de la cathédrale ). La confession peut être entendue par le clergé de la cathédrale ou le clergé ou le père spirituel d’une autre paroisse à laquelle vous appartenez. Il ne convient pas de se confesser durant la liturgie, à moins d’être faible, malade ou handicapé. C’est une tradition dans l’église russe orthodoxe de se confesser avant de recevoir la communion et nous prions nos hôtes orthodoxes d’honorer cette coutume. «Se confesser avant de communier» ne signifie pas se confesser 6 mois avant la communion, voire même 2 semaines. Se présenter à la communion et dire qu’on a la bénédiction de son père spirituel, sans la préparation habituelle, est inacceptable.
Se tenir debout ou s’asseoir
Dans l’Église russe orthodoxe, il est de tradition de se tenir debout lorsque l’on prie individuellement ou durant une célébration liturgique. Notre église cathédrale n’a pas de bancs, excepté à l’arrière ou de chaque côté pour les personnes âgées ou handicapées. Quand doit-on se tenir débout? Tout d’abord, il est acceptable , et même préférable, de se tenir debout durant toute la célébration, si vous le pouvez. Mais il est impératif de se tenir debout durant la lecture de l’Évangile, la petite et la grande Entrée, l’anaphore, la distribution de la communion, chaque fois que le célébrant bénit l’assemblée et au moment du renvoi.
Allumer des cierges
Acheter et allumer des cierges est une partie importante du culte orthodoxe. Nous les allumons comme une offrande qui accompagne notre prière. Les orthodoxes achètent des cierges et pénètrent dans l’église où ils allument les cierges et les posent devant des icônes en priant à une intention particulière. Il y a cependant des moments où il ne convient pas d’allumer des cierges : durant la lecture de l’Épître et de l’Évangile, la petite et la grande Entrée, de la profession de foi jusqu’à la fin de l’anaphore eucharistique ( hymne à la Mère de Dieu ), le Notre Père et durant l’homélie.
Arrivée tardive à l’office
Il convient ( et cela est préférable ) d’arriver à l’église avant le début de la célébration liturgique. Si vous arrivez après le début de la célébration, entrez calmement et observez ce qui s’y passe. Si vous arrivez au moment de la lecture de l’Épître ou de l’Évangile, de la petite ou la grande Entrée ou encore au moment de l’homélie, restez à l’arrière jusqu’à la fin de cette partie de la liturgie. Évitez de distraire l’assistance par votre arrivée.
Rouge à lèvres
Vous est-il arrivé de regarder une icône et d’y remarquer les empreintes de lèvres? Peut-être en avez-vous éprouvé du dégoût. Le rouge à lèvres peut rehausser l’apparence d’une personne, mais lorsqu’il laisse des traces sur des icônes, des croix, la cuillère pour la sainte communion et la main de l’évêque ou du prêtre, c’est un manque de respect. Des icônes ont été irrémédiablement endommagées. Et si on peut faire disparaître le rouge à lèvres d’une croix, cela reste un manque de considération et de respect pour ces objets sacrés. Que faire? Vous pouvez attendre la fin de la célébration pour appliquer de rouge à lèvres. Cela vous permettra de vénérer les icônes, baiser la croix ou la main de l’évêque ou du prêtre.
Vénération des icônes
Lorsque vous vénérez une icône en la baisant, portez attention à l’endroit ou vous posez vos lèvres. Il ne convient pas de baiser le sujet de l’icône sur la figure. Portez attention à la composition de l’icône : vous pouvez baiser l’évangile, un parchemin, la croix à la main de la personne, la main ou le pied de la personne. Vénérez avec respect le (la) saint(e) qui est le sujet de l’icône.
Parler à l’église
N’est-ce pas merveilleux de venir à l’église et d’y rencontrer des membres de la famille ou des amis? Oui, mais attendez la fin de la célébration pour engager la conversation. Il ne convient pas de saluer des personnes et engager un conversation avec elles durant la célébration. Cela est irrespectueux envers Dieu et distrayant à l’égard des personnes qui cherchent à prier. Parlez à Dieu dans votre prière à l’église et à vos amis dans le vestibule ou à l’extérieur de l’église.
Baiser la main de l’évêque ou du prêtre ( pas de poignée de mains )
Connaissez-vous la juste façon d ‘aborder un évêque ou un prêtre? Il s’agit de demander sa bénédiction et baiser sa main droite. Comment faire? Approchez-vous de la personne en plaçant votre main droite ouverte sur votre main gauche et vous dites «Maître, bénissez ( évêque ) ou «Père, bénissez» ( prêtre ). La personne fera un signe de la croix et placera sa main droite sur vos mains. C’est la façon traditionnelle d’aborder un membre du clergé. L’évêque ou le prêtre ne sont pas un de vos amis, ils sont ceux qui vous bénissent et vous sanctifient et qui offrent les Saints Dons en votre faveur. Chaque fois que vous baisez leur main, vous témoignez du respect au Christ qu’ils représentent. Donc, chaque fois que vous saluez l’évêque ou le prêtre, demandez sa bénédiction.
Code vestimentaire
Enfants :
Il ne convient jamais que les enfants portent des vêtements de sport, des shorts, des vêtements modifiés ou effilochés ( ceci concerne aussi les adultes ). Les chaussures devraient être propres et soignées. Pas de T-shirts portant des messages.
Dames :
Elles peuvent porter des robes modestes. Les robes qui laissent les épaules et le dos découvert ou un décolleté trop prononcé sont à proscrire. Pas de mini-jupes. Les bords des jupes devrait s’arrêter aux genous ou plus bas. Si une dame porte un pantalon, ce devrait être un pantalon de toilette ( et non un pantalon ou jeans moulant ou un collant ou une jambière). Les shorts sont à proscrire.
Hommes :
Le veston et la cravate ne sont pas obligatoire; la chemise devrait avoir un col et être boutonnée jusqu’au dernier bouton avant le col. Pas de chemise ouverte. Les jeans trop serrés ou trop larges, troués ou effilochés sont prohibés. Pas de T-shirts avec messages ou de shorts.
Faire le signe de la croix
Vous avez peut-être observé que les fidèles font le signe de la croix à différents moments et parfois de différentes façons. Une personne qui se signe le fait selon sa piété personnelle et non selon une règle liturgique. Il y a cependant des moments où il convient de se signer et d’autres moments où on s’en abstient. Voici quelques indications :
Quand se signer :
Au moment d’une prière où vous entendez les mots «Père, Fils et Esprit-Saint»; au commencement et à la fin d’un office ou d’une prière privée; en entrant et en sortant de l’église; en passant devant l’autel ( les portes royales ); avant de vénérer une icône, la croix et l’Évangiliaire.
Quand ne pas se signer :
Devant le calice et après avoir reçu la communion ( vous pourriez accrocher le calice avec votre main ); quand le célébrant bénit en disant «Paix à tous», on s’incline pour recevoir la bénédiction; quand on demande la bénédiction de l’évêque ou du prêtre et qu’on baise sa main.
Prendre la pain béni
Après avoir communié et à la fin de la liturgie, il est de tradition de manger un morceau de pain béni, appelé antidoron, ( et boire un peu de vin appelé zapivka après la communion ). L’antidoron n’est pas la Sainte Communion; c’est un pain béni, sanctifié, et comme tel doit être consommé avec soin pour que des miettes ne tombent pas au sol. Éduquez vos enfants à consommer respectueusement l’antidoron.
Enfants en pleurs
Si votre enfant pleure à l’église, s’il vous plaît, sortez-le de l’église jusqu’à ce qu’il se calme. Si vous n’avez pas d’enfant et que vous remarquez que des parents d’un enfant qui pleure ne sortent pas de l’église, approchez-les fraternellement et invitez-les à sortir de l’église jusqu’à ce que l’enfant s’apaise. Ainsi, la célébration liturgique ne sera pas perturbée.
Téléphones cellulaires : les éteindre!
S’il vous plaît, éteindre vos téléphones cellulaires ou les placer en mode silencieux avant d’entrer dans l’église. Si la sonnerie se déclenche accidentellement, ne répondez pas à voix haute dans l’église : pour éviter de distraire les fidèles de l’office, décrochez et attendez d’être au narthex ( vestibule ) ou à l’extérieur pour parler. Quittez l’église calmement. Ne vous précipitez pas. Faites attendre votre interlocuteur. Vous pouvez aussi couvrir l’appareil de vos deux mains pour assourdir la sonnerie. Si un tel incident se produit, cela devrait vous rendre vigilant, pour une prochaine fois, et éteindre votre cellulaire avant d’entrer à l’église.
Pas de photographie sans autorisation.
Photographier durant une célébration n’est pas autorisé à moins d’une permission expresse donnée par l’archevêque ou un membre du clergé.
Confession avant la communion
Tous les chrétiens orthodoxes sont invités à recevoir la communion à l’église cathédrale à la condition qu’ils se confessent la veille ( à moins d’un arrangement pris avec le clergé de la cathédrale ). La confession peut être entendue par le clergé de la cathédrale ou le clergé ou le père spirituel d’une autre paroisse à laquelle vous appartenez. Il ne convient pas de se confesser durant la liturgie, à moins d’être faible, malade ou handicapé. C’est une tradition dans l’église russe orthodoxe de se confesser avant de recevoir la communion et nous prions nos hôtes orthodoxes d’honorer cette coutume. «Se confesser avant de communier» ne signifie pas se confesser 6 mois avant la communion, voire même 2 semaines. Se présenter à la communion et dire qu’on a la bénédiction de son père spirituel, sans la préparation habituelle, est inacceptable.
Se tenir debout ou s’asseoir
Dans l’Église russe orthodoxe, il est de tradition de se tenir debout lorsque l’on prie individuellement ou durant une célébration liturgique. Notre église cathédrale n’a pas de bancs, excepté à l’arrière ou de chaque côté pour les personnes âgées ou handicapées. Quand doit-on se tenir débout? Tout d’abord, il est acceptable , et même préférable, de se tenir debout durant toute la célébration, si vous le pouvez. Mais il est impératif de se tenir debout durant la lecture de l’Évangile, la petite et la grande Entrée, l’anaphore, la distribution de la communion, chaque fois que le célébrant bénit l’assemblée et au moment du renvoi.
Allumer des cierges
Acheter et allumer des cierges est une partie importante du culte orthodoxe. Nous les allumons comme une offrande qui accompagne notre prière. Les orthodoxes achètent des cierges et pénètrent dans l’église où ils allument les cierges et les posent devant des icônes en priant à une intention particulière. Il y a cependant des moments où il ne convient pas d’allumer des cierges : durant la lecture de l’Épître et de l’Évangile, la petite et la grande Entrée, de la profession de foi jusqu’à la fin de l’anaphore eucharistique ( hymne à la Mère de Dieu ), le Notre Père et durant l’homélie.
Arrivée tardive à l’office
Il convient ( et cela est préférable ) d’arriver à l’église avant le début de la célébration liturgique. Si vous arrivez après le début de la célébration, entrez calmement et observez ce qui s’y passe. Si vous arrivez au moment de la lecture de l’Épître ou de l’Évangile, de la petite ou la grande Entrée ou encore au moment de l’homélie, restez à l’arrière jusqu’à la fin de cette partie de la liturgie. Évitez de distraire l’assistance par votre arrivée.
Rouge à lèvres
Vous est-il arrivé de regarder une icône et d’y remarquer les empreintes de lèvres? Peut-être en avez-vous éprouvé du dégoût. Le rouge à lèvres peut rehausser l’apparence d’une personne, mais lorsqu’il laisse des traces sur des icônes, des croix, la cuillère pour la sainte communion et la main de l’évêque ou du prêtre, c’est un manque de respect. Des icônes ont été irrémédiablement endommagées. Et si on peut faire disparaître le rouge à lèvres d’une croix, cela reste un manque de considération et de respect pour ces objets sacrés. Que faire? Vous pouvez attendre la fin de la célébration pour appliquer de rouge à lèvres. Cela vous permettra de vénérer les icônes, baiser la croix ou la main de l’évêque ou du prêtre.
Vénération des icônes
Lorsque vous vénérez une icône en la baisant, portez attention à l’endroit ou vous posez vos lèvres. Il ne convient pas de baiser le sujet de l’icône sur la figure. Portez attention à la composition de l’icône : vous pouvez baiser l’évangile, un parchemin, la croix à la main de la personne, la main ou le pied de la personne. Vénérez avec respect le (la) saint(e) qui est le sujet de l’icône.
Parler à l’église
N’est-ce pas merveilleux de venir à l’église et d’y rencontrer des membres de la famille ou des amis? Oui, mais attendez la fin de la célébration pour engager la conversation. Il ne convient pas de saluer des personnes et engager un conversation avec elles durant la célébration. Cela est irrespectueux envers Dieu et distrayant à l’égard des personnes qui cherchent à prier. Parlez à Dieu dans votre prière à l’église et à vos amis dans le vestibule ou à l’extérieur de l’église.
Baiser la main de l’évêque ou du prêtre ( pas de poignée de mains )
Connaissez-vous la juste façon d ‘aborder un évêque ou un prêtre? Il s’agit de demander sa bénédiction et baiser sa main droite. Comment faire? Approchez-vous de la personne en plaçant votre main droite ouverte sur votre main gauche et vous dites «Maître, bénissez ( évêque ) ou «Père, bénissez» ( prêtre ). La personne fera un signe de la croix et placera sa main droite sur vos mains. C’est la façon traditionnelle d’aborder un membre du clergé. L’évêque ou le prêtre ne sont pas un de vos amis, ils sont ceux qui vous bénissent et vous sanctifient et qui offrent les Saints Dons en votre faveur. Chaque fois que vous baisez leur main, vous témoignez du respect au Christ qu’ils représentent. Donc, chaque fois que vous saluez l’évêque ou le prêtre, demandez sa bénédiction.
Code vestimentaire
Enfants :
Il ne convient jamais que les enfants portent des vêtements de sport, des shorts, des vêtements modifiés ou effilochés ( ceci concerne aussi les adultes ). Les chaussures devraient être propres et soignées. Pas de T-shirts portant des messages.
Dames :
Elles peuvent porter des robes modestes. Les robes qui laissent les épaules et le dos découvert ou un décolleté trop prononcé sont à proscrire. Pas de mini-jupes. Les bords des jupes devrait s’arrêter aux genous ou plus bas. Si une dame porte un pantalon, ce devrait être un pantalon de toilette ( et non un pantalon ou jeans moulant ou un collant ou une jambière). Les shorts sont à proscrire.
Hommes :
Le veston et la cravate ne sont pas obligatoire; la chemise devrait avoir un col et être boutonnée jusqu’au dernier bouton avant le col. Pas de chemise ouverte. Les jeans trop serrés ou trop larges, troués ou effilochés sont prohibés. Pas de T-shirts avec messages ou de shorts.
Faire le signe de la croix
Vous avez peut-être observé que les fidèles font le signe de la croix à différents moments et parfois de différentes façons. Une personne qui se signe le fait selon sa piété personnelle et non selon une règle liturgique. Il y a cependant des moments où il convient de se signer et d’autres moments où on s’en abstient. Voici quelques indications :
Quand se signer :
Au moment d’une prière où vous entendez les mots «Père, Fils et Esprit-Saint»; au commencement et à la fin d’un office ou d’une prière privée; en entrant et en sortant de l’église; en passant devant l’autel ( les portes royales ); avant de vénérer une icône, la croix et l’Évangiliaire.
Quand ne pas se signer :
Devant le calice et après avoir reçu la communion ( vous pourriez accrocher le calice avec votre main ); quand le célébrant bénit en disant «Paix à tous», on s’incline pour recevoir la bénédiction; quand on demande la bénédiction de l’évêque ou du prêtre et qu’on baise sa main.
Prendre la pain béni
Après avoir communié et à la fin de la liturgie, il est de tradition de manger un morceau de pain béni, appelé antidoron, ( et boire un peu de vin appelé zapivka après la communion ). L’antidoron n’est pas la Sainte Communion; c’est un pain béni, sanctifié, et comme tel doit être consommé avec soin pour que des miettes ne tombent pas au sol. Éduquez vos enfants à consommer respectueusement l’antidoron.
Enfants en pleurs
Si votre enfant pleure à l’église, s’il vous plaît, sortez-le de l’église jusqu’à ce qu’il se calme. Si vous n’avez pas d’enfant et que vous remarquez que des parents d’un enfant qui pleure ne sortent pas de l’église, approchez-les fraternellement et invitez-les à sortir de l’église jusqu’à ce que l’enfant s’apaise. Ainsi, la célébration liturgique ne sera pas perturbée.